Idées "tous les matins du monde'' le pouvoir de la cour représenté dans le roman
Dans le film et dans le roman, le pouvoir de la cour n'est pas représenté de façon frontale. = Pas une histoire qui se déroule au coeur de versailles, au contraire, afin d'accéder à une grande réalité historique (janséniste/chrétiens – Les fastes de versailles- les contradictions d'une époque riche culturellement – etc) le choix de l'auteur ( reprit fidelement par le réalisateur) est de passer par le prisme d'un personnage atypique et en opposition avec le pouvoir afin de l'entrevoir.
= La cour est périphérique dans l'histoire, elle est nécéssaire mais n'est pas le sujet central. La cour n'apparait reelement que quelques fois : Au moment des concerts donné par Ste. C et ses filles. ( une scene dans le film, concert à trois violes, les nobles sont présents, des jansénistes aussi, ils sont phsiquement grace à leur costume facilement reconnaissable.) Et à deux autres moments = conflits. Ces scenes de conflits sont similaire dans le film et dans le roman à quelques details pres. Dans le livre, une forte tension est prédominante avec une violance tacite tandis que dans le film, ces deux choses là sont présentes mais en plus de la place inquisitrice que le pouvoir tient dans le monde de Ste. C, il est tourné au ridicule. = visage, physique, elocution, grimasses. (details qui ne sont pas decrit dans le livre)
Ensuite, le pouvoir de la cour ne se manifeste plus physiquement mais reste dans sur la toile de fond quand M.M fait son entrée. C'est un jeune homme de la cour, qui vient à la rencontre de Ste. C. = malgréle fait que Ste. C essait de se couper du monde et de versailles, c'est toujours versailles qui vient à lui. Ce sera encore M.M qui se deplacera jusqu'à lui, la première fois apres qu'il fut jeté de la chantrerie et qu'il décide de devenir un grand maitre de la viole. = Le constraste entre M.M et Ste. C est incessant. Il est décrit comme ''un jeune coq'' dans