hyperactivité
Historique Depuis la description de l'instabilité par Bourneville en 1897, de nombreux termes se sont succédés (hyperkinésie, hyperactivité, minimal brain injury/dysfunction, hyperactivité avec trouble de l'attention..). Ceci s'explique par une divergeance de description et d'opinons sur les causes étiologiques de la part des auteurs. Si on se réfère au DSM IV on parle aujourd'hui de trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité. Ce trouble est composé de deux axes : l'instabilité psychique (crée l'impulsivité ) et l'instabilité motrice (altère les relations au monde). Sur ces deux axes, on trouve 4 domaines où se manifeste les signes cliniques pathologiques: L'instabilité motrice, l'instabilité psychique et difficultés d'attention, les troubles émotionnels ainsi que les troubles relationnels et des apprentissages.
Descriptions diagnostiques et cliniques Pour les deux nosographies (TDAH ou hyperkinésie), un certain nombre de critères doivent être présent et persistant, avant l’âge de 5 ans et dans différentes situations de vie pour que le diagnostic puisse être confirmé. On range ces critères selon deux grands axes : les troubles de l'attention (exemple : souvent ne semble pas écouter ce qui lui est dit) et les troubles hyperkinétiques-impulsivité (exemple : souvent a des activités excessives et désorganisées). Nous devons faire attention de placer ces signes dans la continuité et l'ensemble du développement de l'enfant. L'école révèle et amplifie la symtomatologie hyperactive de l'enfant, notamment les difficultés relationnelles. 4% d'enfant d'âge scolaire sont concernés par l'instabilité et 80% de ceux ci sont des garçons. Le taux est perçut comme en net augmentation mais cela reste discutable. Bien souvent ces enfants présentent des troubles des apprentissages sans doute du a une personnalité fragile. Souvent la demande d'aide vient de la part des parents pour une intolérance