Hollande et sarkozy
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• Vous parlez de la justice sociale, mais celle-ci est aussi au cœur de la politique fiscale de Sarkozy. Sa politique fiscale a déjà a permis de corriger de nombreuses inégalités, en aidant les ménages les plus défavorisés. Par exemple : la loi TEPA de 2007 a exonéré d’impôt les étudiants qui choisissent de travailler pendant leurs études et a exonéré les heures supplémentaires de charges fiscales et sociales pour les salaries qui souhaitent travailler plus pour gagner plus. Il en faut pas oublier que, grâce a une taxe sur les hauts revenus, mise en place en 2011, les ménages les plus aisés contribuent davantage à l’effort de solidarité dans la crise et la réforme des retraites a été en partie financée par une taxation supplémentaire des plus hauts revenus.
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• Il s'agissait de ne pas décourager ceux qui réussissent en France, investissent dans l'économie, et que notre fiscalité a, dans le passé, souvent incités à s’expatrier.
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• Cette politique fiscale réussie sera continuée avec un allégement les charges patronales qui pèsent sur le travail de 14 millions de salariés, notamment dans l’industrie et l’agriculture, l’instauration d’un impôt sur les exilés fiscaux français, qui s’installent à l’étranger exclusivement pour des raisons fiscales et la création d’un impôt minimal sur les grands groupes, assis dans un premier temps sur le chiffre d’affaires mondial.
• En matière de fiscalité, l'annonce phare de François Hollande reste la taxation à 75 % des revenus