Historiographie de l'histoire
Introduction
Les pratiques corporelles sont des pratiques qui sont des recodages du passé à la lumière de nouveaux environnements, nouveaux matériaux. Il est évident que l’histoire ne nous sert pas à faire notre séance d’éducation physique. C’est par l’histoire que nous allons nous situer par rapport à notre activité professionnelle, de comprendre les finalités.
Nous utilisons l’histoire comme un outil de jugement. L’esprit de l’étudiant de manière générale permet de travailler dans la vérité et le défaut est de considérer qu’ils sont les héritiers du progrès et de juger l’histoire comme le monde de l’erreur. La façon de s’entraîner en 1950 c’était stupide par exemple. Cela veut dire que l’histoire doit nous aider à analyser le passé : quels modèles ils avaient dans la tête, quels instruments ils utilisaient ? Le but est de comprendre pourquoi cet autrement !
Nous sommes demandeur de vérité. Le problème de l’histoire c’est que ce n’est pas un apport de vérité. Ce n’est pas un savoir parfait. C’est un savoir imparfait et jamais innocent. L’histoire se raconte. Entre l’évènement et le récit, il y a l’homme. C’est lui qui raconte et qui à tendance à déformer l’évènement. Je vais avoir des rapports au monde en fonction de mes représentations. L’homme est porteur d’une certaine rationalité, et l’on va étudier les méthodes de l’histoire car elles sont porteuses de rationalité. Il faut se méfier de l’histoire.
Ceux sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire : c’est César qui écrit l’histoire. L’histoire de sa victoire car c’est un outil qui va servir. Ceux qui font l’histoire de la seconde guerre mondiale, ceux sont les victorieux.
Il y a dans le monde des pratiques corporelles de la concurrence. L’éducation physique par le jeu : aujourd’hui on ne fait plus de la pédagogie à partir du jeu est complètement passé aux oubliettes car ça n’a pas eu d’incidence sur l’histoire.
L’histoire s’écrit quand la mémoire