Historie
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10/02/10
Français : Sujet d'invention
→ Murielle
-Il faut que tu me dises ce que tu sais Murielle. Dit une voix féminine faisait partie des officiers de police.
Je n'étais pas très à l'aise. Comment tout dévoiler à cette personne inconnue?Je voulait tout lui dire. Mais quelques chose m'en empêchait. Alex peut-être... Je me remémorais ce moment où je l'avait vu après un long moment d'absence. Toute cette colère que j'avais fait paraître alors que je voulait juste lui dire qu'il me manquait. Cette haine était cependant devenue un amour plus fort malgré les secrets qu'Alex me cachait. Pourtant, j'avais essayé de nombreuse fois de lui faire dire ce qu'il n'allait pas, mais il se renfermait un peu plus chaque jours sur lui-même. Il y a un moment j'ai cru qu'il allait tout me dire, se confier à moi. C'était lundi soir, au camps d'entrainement, nous étions partis avec tout le groupe pour une semaine. Alexandre m'avait rejoint dans ma tente. On était tous les deux, seuls. Alors, nos désirs ont pris le dessus. Des caresses, des baisers, rien ne pouvait nous séparer. Enfin, c'est ce que je croyais. Quand j'ai commencé à descendre mes mains sur ses cuisses je me suis aperçue que des marques de coup faisait irruption sur sa peau. Il a sentit que j'observais. Il s'est crispé puis il s'est retiré doucement. Je lui ai demandé ce que ça signifié. Mais il s'est bloqué et m'a tourné le dos. J'étais face à un mur. Par la suite, je n'ai jamais osé reposer de question de peur qu'un autre malaise vienne s'installer entre nous. C'était une erreur. J'aurai dû insister pour éviter ce drame. Il aurait pû mourir... Je vais donc tout dire à cette policière afin d'éviter un nouvel enfer à Alex.
-Je vais vous raconter ce que je sais ou plutôt ce que j'ai vu...
→ Sergi
J'étais là, assit et je réfléchissais en me grattant le tête tout en attendant patiemment que le policier me pose les questions que j'avais tant redouté . je devais dire la vérité. Dire