Dans sont livre le dernier jour d’un condamné chapitre XIX, rédiger en 1829, Victor Hugo (1802-1885) fervent détracteur de la peine de mort, il engage une réflexion social en illustrant l’image des derniers jours d’un condamné à morts, il retrace sont passé, ses bon souvenirs et ses souffrances, nous fusent voyager dans ses pensées et ses meilleurs moments de joies, et nous conduisent à partager ses souffrances, L’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les conditions de vie des prisonniers. Il exprime ses sentiments sur sa vie antérieure et ses états d’âme. Nous allons donc nous demander comment l'auteur arrive à nous retranscrire l'état d'esprit du condamné après l'annonce de son exécution. Pour cela nous étudierons dans un premier temps l’omni présence de la condamnation a mort, nous analyserons ensuite l’espoir et le désespoir du condamné.
Victor Hugo à travers un long monologue entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs l’autre vie, la "vie d’avant" d’un condamné a mort, fait vivre à ses lecteurs les souffrances et les joies les moments passé dans unes cellules minutes par minute heurs par heurs, il emplois une stratégie visant à captiver l’attention du lecteur dés le début de l’extrait par la phrase exclamative « condamné à mort ! », il emplois ensuite des énumérations temporelles, qui visent à faire à mètre le lecteurs dans la peau du condamné « voila Cinque semaine » « chaque jours chaque heurs chaque minutes », il appui cela par des répétitions et des gradations « toujours seul avec elle », « toujours glacé d sa présence » ,« toujours courbé sous sont poids ». L’auteur se sert du temps pour nous faire voyager dans les pensée du lecteur, notamment le passé « autre fois, car il me semble qu’Ilya plutôt des années que des semaines », en retracent le passé joyeux du condamné, a travers l’Analépse,