Histoires des médias
En France la presse est une sorte de service public, il va donc falloir la protéger. Depuis la deuxième guerre mondiale, les entreprises de la presse ont une obligation spécifique différente des entreprises normales. On doit tenir compte de leurs fonction sociale, politique, culturelle mais dans la réalité ces obligations restent théorique. Il est difficile pour une entreprise d’avoir un statut différent en économie libérale (=système économique dans lequel les agents économiques (entreprises, individus) ont la liberté de vendre et d'acheter des biens, des services et des capitaux) et en économie du marché (=système dans lequel les agents économiques (entreprises, individus) ont la liberté de vendre et d'acheter des biens, des services et des capitaux. Chacun agit alors en fonction de ses intérêts), il est aussi difficile d’éviter que l’information ne soit soumise au désidérata (chose que l’on désire), à l’argent ainsi qu’à la concentration excessive (=que ça soit absorber par un groupe industriel).
On va donc crée l’ordonnance du 26 août 1944 prises à la Libération ou un peu avant, visant à organiser un nouveau système médiatique qui garantit la liberté d'expression et un pluralisme (=Conception admettant la diversité des opinions et des tendances) de la presse, c’est une règle d’anti-concentration et de transparence qui permet d’éviter que les anciennes collaborations Allemandes pendant la guerre reprennent les journaux confisqué à la Libération. Cependant cette ordonnance est très peu suivie par manque de concentration.
En 1984, le gouvernement instaure la loi Mauroy où la gauche essaye de donner vie à l’ordonnance de 1944. Cette loi empêche le regroupement. Le conseil constitutionnel a décidé que cette loi, ordonnance n’était pas conforme.
En 1986 la loi de Mauroy est toujours en vigueur, minimaliste et plus souple que celle de 1944. Elle concerne toutes les entreprises éditrice, il faut que toutes les publications