Le syndicalisme fait partie intégrante de la société britannique. Son histoire remonte au
18e
siècle. À cette époque, plusieurs efforts étaient entrepris pour former des organisations pour lier les travailleurs; par contre, ces efforts étaient isolés et manquaient de cohésion entre eux pour avoir un impact réel dans les affaires et les industries au
Royaume-Uni.

Le premier syndicat national était fondé en 1833 par un socialiste nommé Robert Owen.
Ce syndicat, The Grand National Consolidated Trades Union (ou le Grand syndicat national consolidé), fut crée à une époque où la formation des syndicats était toujours illégale.
Cette initiative a échoué. Cependant, l’idée de créer un syndicat national est demeurée encrée dans les pensées des travailleurs du Royaume-Uni. Malgré le fait que la formation d’une organisation syndicale était toujours illégale, un nouveau syndicat national a vu le jour en 1868 : le Trades Union Congress (TUC, ou le
Congrès syndical). Le TUC est né de la collaboration de plusieurs syndicats. Leurs membres se composaient principalement d’ouvriers hautement qualifiés, comme des ingénieurs. Leur objectif commun était de coordonner les actions entre les syndicats membres. Cette organisation existe encore aujourd’hui. La réussite de la formation d’un syndicat pouvait finalement avoir un impact réel sur le gouvernement britannique. En 1871, le Royaume-Uni a dû légaliser la formation des syndicats et le droit de leurs membres de faire la grève.

Le syndicalisme fait partie intégrante de la société britannique. Son histoire remonte au
18e
siècle. À cette époque, plusieurs efforts étaient entrepris pour former des organisations pour lier les travailleurs; par contre, ces efforts étaient isolés et manquaient de cohésion entre eux pour avoir un impact réel dans les affaires et les industries au
Royaume-Uni.

Le premier syndicat national était fondé en 1833 par un socialiste nommé