Histoire des faits éco
(à lire : Rapport Stigliz)
Introduction :
1/
1780 : Croissance en dent de scie et chaotique, les révolutions industrielles la rend positive même si elle reste fluctuante.
PIB : Somme des VA d’un pays, càd somme des VA des entreprises du pays.
K social : interactions entre les gens, réseaux d’acteurs.
K institutionnel : Rôle des institutions sur la croissance.
Croissance = K + Travail + K institutionnel + K social.
Il y a eu dans l’histoire différents cycles de croissance et des crises se succèdantes. Les crises structurelles sont pour certains économistes nécessaires pour qu’après ces dernière la croissance soit plus forte qu’après la crise précédente.
2/ Le Kisme industriel
Un domaine d’étude complexe : Éclairage épistiémologique : Est-ce une science ? Dans l’épistemiologie il y a 2 tendances : Objet : histoire économique (complexe car non borné, frontières difficile a voir), il y a 2 façons d’étudier cet objet : vision rationaliste, comment cela a évolué à ‘l’intérieur de l’objet (vision de Karl Popper). Ou vision relativiste qui met l’accent sur l’influence du contexte (à la fois par rapport aux questions qui posent et ses outils). De nombreuses choses autour de l’objet conditionne l’étude de l’objet.
Observateur (économiste ou historien) // objet observé (évolution de l’économie)
Le regard porté dépend : de la place de l’observateur, du mode d’observation et des informations disponibles, de l’état de savoir antérieur et de ses représentations.
L’évolution de l’économie influence les questions.
Représentation : forme de connaissance socialement élaborée qui intervient comme un système d’interprétation et qui constitue une interface noire dans notre relation à la réalité.
Lorsque l’on parle on le fait différemment en fonction du message que l’on porte, de l’intitution ayant porté le message, etc.
Lorsque l’on étudie l’histoire économique il faut absolument prendre en compte le point de vue de