Histoire des classes moyennes
Elle se différencie tout d’abord par son niveau de vie en effet elle ne va pas jusqu’à posséder une domesticité nombreuse comme la bourgeoisie mais elle ne s’entasse pas non plus dans des logements insalubre comme les prolétaires. Les frontières avec ces deux autres classes sont pourtant difficile à expliquer car cette classe sociale forme une nébuleuse, en effet on distingue deux groupes de travailleurs eux même divisés en deux : d’une part nous avons les travailleurs manuels comme les artisans par exemple et les travailleurs non-manuels que l’on nomme « les cols bleus », d’autres part nous avons les classes indépendantes et les travailleurs salariés. Malgré sa diversité cette classe a un but en commun ; elle désire s’élever dans la société. Ceci est notamment permis grâce à l’école, plus précisément le lycée payant, ce dernier permet d’atteindre l’élite en deux ou trois générations.
C’est un groupe a caractère changeant surtout en ce qui concerne la politique car il est très sensible à la conjoncture économique, quand tout se « passes » bien pour eux ils soutiennent les régimes libéraux (c’est d’ailleurs ce que c’est passé jusqu’à la première guerre mondial e), ainsi ils peuvent pratiquer leurs « affaires » sans avoir de contes à rendre à l’état quant à leur bénéfice obtenues. Mais quand leurs affaires ne marchent plus exemple avec la crise économique de 1930 ils se mettent à soutenir le courant conservateur, ainsi l’état apportera son aide au plus démunis pour éviter que les catégories indépendantes ne fassent faillites et que les salariés ne perdent leurs avantages sociaux obtenus depuis peu.
Nous ne pouvons conclure que cette classe sociale est vraiment à part des deux autres car elle peut toujours rejoindre ou le