Histoire de l'art
Jugements.
J’admire dans un premier temps le fait que c’est un homme qui a su rester humble et n’a jamais oublié ses amis. Il gardait un comportement et des plaisirs simples, comme se déguiser, faire la fête autour d’un piano. Et ce malgré sa célébrité et sa richesse.
Du début à la fin de sa vie, il a su garder les pieds sur terre et affronter les évènements en restant digne. Il a également toujours été ouvert aux gens et laissait même un certain champ libre à ses collaborateurs. Il savait reconnaître le travail de ses employés sans se l’approprier.
« Les doigts qui courent sur les toiles, les doigts qui se piquent à l’aiguille ou hésitent sur une couture, les doigts qui bâtissent la mode de demain… Cette main de l’homme dont la valeur est irremplaçable car elle donne à tout ce qu’elle créée ce qu’aucune machine ne saurait apporter : la poésie de la vie. Elle est refuge de l’humain, refuge de l’inimitable, refuge de l’âme, ce qui lui donne le caractère unique et insolite d’un objet d’art ». Christian Dior
Il a su conserver son âme bon enfant et de la gaieté qui régnait lors des surprises-parties organisées à la campagne pour se délasser. Habitué aux strasses et aux paillettes de Paris il garde un point de ressource à la campagne où règnent la tranquillité et le calme.
Mon deuxième jugement est que malgré qu’il était respectueux et fidèle en amitié, il n’a jamais osé et n’a jamais pris le temps de connaître l’amour véritable. Je pense que ça aurait pu l’aider à surmonter certaines épreuves et que ça a été un gros manque dans sa vie. Car même si il avait de fidèles amis, toujours présents, ce n’est pas la même chose que d’avoir quelqu’un qui vous aime, vous comprend et vous