Henri michaux - iceberg
Nous pouvons voir quelques particularités, par exemple, les trois derniers paragraphes ont la même structure : il n’y a que deux phrases. Les premières phrases sont toujours non verbales et les deuxièmes sont toujours verbales.
Nous retrouvons différentes figures de style que nous énoncerons dans l’analyse des paragraphes mais nous pouvons déjà en citer deux qui se retrouvent dans tout le poème. L’anaphore, en effet, le mot « Iceberg » est toujours au début des phrases. Ensuite une allitération du son « s ».
Ce mot « Iceberg » n’est pas choisit au hasard, il est vu comme un hommage à la nature d’autant plus qu’on peut remarquer qu’il est toujours en majuscule.
- Premier paragraphe :
On voit bien ici que Henri Michaux fait parti du courant surréaliste. Il fait des associations peu communes, en parlant par exemple de l’au-delà.
Il utilise le mot « Iceberg » pour faire un rapport avec la mort. L’iceberg est un élément froid de la nature, de part sa sonorité étrange et du fait qu’il se trouve dans l »hyperboréal.
- Deuxième paragraphe :
Ici, on retrouve une nouvelle figure de style, une oxymore. Henri Michaux utilise le mot « cathédrales » et ensuite il utilise ces termes ci « sans religion ».
- Troisième paragraphe :
Ici, il y a encore une nouvelles figure de style, la metonymie avec les termes « Nord Atlantique ». Il met sur un pied d’estale l’iceberg en parlant d’ « Augustes Bouddhas ».
- Quatrième paragraphe :
Dans ce dernier paragraphe, Michaux clôture l’hommage qu’il a fait à l’Iceberg. Il met en avant l’idée principale de ce poème : la