Selon Heidegger, la culture moderne scientifique risque de nous priver de notre «déracination». Il associe l’homme à une plante qui est enracinée à son monde. C’est la culture et l’appartenance à la société qui fait que ses racines sont bien entrées dans le «sol». Par contre, pour que nous puissions fleurir et nous épanouir, il nous faut une bonne «terre natale», en d’autres mots, une ville saine et paisible. Conformément à ce qu’explique l’auteur, cette vie, dans tous ses aspects, pourrait être chamboulé, changé par l’arrivée d’une culture moderne scientifique. Il propose que l’homme aille se trouver cerné par les forces des appareils techniques et des automates, de plus que son contrôle et sa volonté sur ces puissances vont débordés, puisqu’elles ne procèdent pas de lui. Également, Heidegger manifeste le fait que ce futur attachement envers ces machines sera si fort que nous deviendrons, à notre insu, leurs esclaves. En somme, le mot «déracination» pourrait se traduire par «délaisser». La culture moderne pourrait nous faire délaisser notre ancienne culture et nous changer complétement en tant qu’humains. Heidegger avait raison de s’inquiéter puisque nous sommes devenus exactement les hommes qu’ils avaient prédit avec l’arrivée de cette nouvelle culture, soit des esclaves des appareils techniques et des automates.
Je me mets dans le peau d'un des naufragés qui débarque sur l'île de Bensalem. Dès mon arrivée près de la terre, je fis la rencontre de quelques habitants vivant sur l'île. Ils me disèrent que je n'aurait pas le droit d'atterrir mon navire, que je devrai quitter cette côte en moins de seize jours, mais ces dernier me donneront toute l'aide afin que l'équipage reparte en bonne santé et bien préparé. Ils me proposèrent d'inscrire tout mes besoins, que cela soit pour l'eau, les vivres, l'aide pour les malades ou bien les réparations de mon navire, sur un rouleau de parchemin. Je n'aurais pas pu souhaiter un accueil plus chaleureuse de la part