halouf du bled
Je revenais d'Inde,en raison d'un voyage d’affaire, moi, Jean Michel PRUNO. Je me dirigeai vers Paris, à bord d'un taxi en pensant à ma femme. Je l'imaginais belle, avec le chat qui se frottait à elle, en train de préparer du homard mariné au citron : mon plat préféré. A la maison, j’embrassai ma femme. Je lui avait acheté un cadeau : un couteau décoré d'un diamant avec une écriture ancienne. On pouvait y voir sur la lame : le beau gosse du quatre-vingt-douze. Malheureusement, je savais pas ce que cela signifiait.
Après le repas, nous allâmes nous coucher. Ma femme rangea le couteau dans un des tiroirs de la cuisine. Pendant la nuit, vers minuit, j’entendis des coups de griffes provenant de la cuisine. Je me demandai ce que cela pouvait être, sûrement le chat. Vers dix heures du matin, je me réveillai avec un grand cri de colère. J'accourus et ma femme me montra du doigt le sol. Je vis sur le carrelage des griffures. Furieuse, ma femme mis le chat à la porte. En me rapprochant du sol, je vis des marques différentes des autres, des marques comme cela : le beau gosse du quatre-vingt-douze. J'avais déjà vu ces signes quelque part mais où ?..
Vers midi, je me rendis au travail. Arrivé là-bas, la police m'appela : ma femme venait de décéder. Sur les lieux du crimes, ce fut un choc, je n'en croyais pas mes yeux : ma femme avait été poignardée par le couteau indien. Sur le couteau, les enquêteurs m’affirmèrent qu'il y avait les empreintes de mon voisin. Ils lui demandèrent ce qu'il faisait vers midi. Il répondit qu'il était avec des convives entre 11 et 15 heures, ce qui était le cas. Après l'enterrement, j’allai me coucher.
Quelque jours plus tard, j’entendis un cris venant de derrière le mur : le mur de mon voisin. Je me pressai et je le vis allongé par terre. Je me rapprochai et je vis le couteau dans son dos ! Je le sortis et le laissai tomber. J’étais pétrifié par la peur : où que j'aille, ce couteau me suivait et tuait des gens