Synthèse : Les années passent et des générations succèdent à d’autres générations. Le passé des générations précédentes s’efface pour laisser place à la construction de l’histoire des nouvelles générations. Ont peut alors se demander si « une génération peut se fonder sans la connaissance de son passé ? » L’article de presse de J.de Romilly intitulé « La littérature, ou le passé vivant » du 28 octobre 2008 traitera de l’ignorance de l’histoire des individus d’aujourd’hui alors qu’ils disposent d’œuvres littéraires pour s’en imprégner alors que l’article de H.Arendt intitulé « La crise de l’éducation » aborde la nation des difficultés à éduquer les individus. L’article de presse de C.Gabizon « D-Day : du pèlerinage au tourisme de masse » traitera de la mémoire commune de plusieurs nations sur les lieux du débarquement en Normandie et enfin la photographie « Jo Wajsblat de retour à Auschwitz, soixante ans après sa déportation » ou il est expliquer dans le petit texte la transmission de l’histoire dans le monde par le biais de son expérience personnelle.
Dans un premier temps nous verrons la part du passé dans le présent et dans un second temps nous verrons les différents modes de transmission du passé au présent.
La présence du passé dans le présent est notable dans la construction d’une génération. Cependant trop de fois l’histoire est oubliée pour laisser place à un présent sans repères passé. J.de Romilly considère que les jeunes d’aujourd’hui pensent que l’histoire commence à leurs naissances malgré qu’ils l’aient étudié et ce même si le monde est vieux et beaucoup plus vieux qu’eux comme le signal H.Arendt dans « La crise de l’éducation » alors que C.Gabizon signal leurs ignorances de l’histoire commune comme celle du débarquement et de leurs agitations lors de leurs arrivées sur de tels lieux. Cette pensée est appuyer par l’histoire qui est considérée d’un autre temps et peut ou voir non importante par les jeunes. Le passé appartient au passé,