Guenièvre Roth ne se souvient pas, et même, très peu de son enfance. Elle n’a mémoire que de ses voyages répétitifs en compagnie de sa sœur, Elyzabeth. Mais une chose était sûre, elle éprouvait une profonde admiration pour sa sœur. Pour elle, c’était son modèle : elles portaient les mêmes habits, la même couleur de cheveux, les mêmes marques étranges sur leurs corps, les mêmes yeux qui sortaient de l’ordinaire et bien sûr Élyzabeth était toujours présente pour s’occuper de Guenièvre . Elle n’avait pas encore l’âge de poser des questions à propos de ses vrais parents, car Elyzabeth a été sa famille tout le long de son enfance.

Guenièvre était l’une des enfants les plus heureuses, même si elle était maintenant âgée de 10 ans, elle restait avec la grande naïveté d’un enfant de 6 ans. Un jour, lorsque les deux sœurs firent un transit vers les fiefs de Balkans, elles durent traverser une des plus noires forêts pour Guenièvre. Elle ne voulait pas continuer la marche, car la nuit qui tombait ne la rassurait pas du tout sans compter qu’elle entendait des bruits étranges dans la forêt qui lui donnait plus que la chair de poule.

Guenièvre n’aurait jamais pu imaginer une bête pareille. Elle fessait au moins 8 fois sa grosseur. La bête avait autant de facilité à marcher sur deux pattes que sur quatre pattes. Elle avait l’air d’un loup particulièrement musclé avec beaucoup de traits humains comme son sourire. Ses dents étaient comme des dagues, dont par le nombre pouvaient lacérer un humain en 2 secondes. L’être avait l’air si méchant qu’il dégageait quelque chose, une étrange sensation. Guenièvre sentait justement cette sensation, tellement énorme, qu’elle l’a pétrifia sur place. C’était la première fois qu’elle détectait l’âme d’une créature aussi corrompue. Tout d’un coup, la créature tomba soudainement devant sa soeur. Elle n’eu pas le temps de comprendre ce qui venait de se passer que sa sœur la cacha derrière elle, comme s’il y avait un plus grand danger. Quelques