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Dans l’extrait étudié, les mineurs se révoltent contre les bourgeois, ils veulent tout supprimer pour tout refaire, d’où le titre Germinal, qui signifie anéantissement de l’ordre social. Zola dit vouloir parler du peuple et le faire parler. On lui reproche d’ailleurs d’utiliser un langage assez cru.
Par conséquent, afin de cerner la spécificité du texte proposé, nous nous demanderons comment Zola met en scène la révolte du peuple. Dans un premier temps nous verrons la vision terrifiante du peuple en colère, puis la vision zolienne de la révolution.
Le peuple en colère donne une vision terrifiante, cette masse compacte d’homme est animalisé, comparé à des animaux tout au long du texte, par la métaphore filée on peut relever les termes qui le prouve « galopa »(l1), « corne »(l2), « femelles »(l7), « sabots »(l18), « mâchoires de bêtes fauves »(l27), « galoperait »(l43), « mâchoires de loups »(l45), « la vie sauvage »(l49). On trouve aussi une métaphore filée de la tempête « tonnerre »(l1 et 46), « soufflant »(l2), « ouragan »(l5), « ruisselait »(l43), « vent terrible »(l54), qui accentue la métaphore précédente. Ainsi la foule devient une masse inquiétante, qui ne forme qu’un « une masse compacte »(l13), accumulation de pluriel « des galibots des haveurs, des raccommodeurs »(l13), il y a d’une part les femmes « les femmes »(l5-6) et de l’autre les hommes « les hommes déboulèrent »(l12). Zola