gourvernement

522 mots 3 pages

STOP MENSONGES

Parce que vous pensez que le monde dans lequel vous vivez est tel que vous le voyez,
C'est un retour aux enfers,
Un monde consumer par le pire des cancers,
Les humains,
Une maladie que Antoine Priore auraient sûrement pu éradiquer,
Si on ne l'avait pas décrédibiliser,
Assassiner tout ses projets.
Parce que pour vous le monde se résume à tout ce que les chefs vous commandes,
L'univers n'a pas de frontière,
Alors pourquoi vous oblige t – on à vous mettre des barrières.
La démocratie ?
Qu'elle blague !
Une soumission rester bien trop longtemps sans révolution.
Le peuple est disperser, obnubiler par ce qu'il pense être le salut,
Cherchant dieu où les seuls dieu qu'il existe sont ceux qui font de vous leur marionnettes.
Parce que la différence est mal acceptée,
Et parce que vous détestez ce que l'ont vous a bien appris a renier,
Alors que le peuple crache,
Pendant que d'autre encaisse le cash.
Parce que pour vous la folie est une notion abstraite,
Et qu'elle n'as pas vraiment de signification,
Si ce n'est l'exclusion.
Mais le monde est contrôlé par des fou pour des fous,
Enfermant et réduisant aux silence ceux qui sont capable d'ouvrir leur bouche pour dire la vérité.
D'ailleurs qu'elle est elle cette vérité ?!
Parce que vous pensez savoir ce qu'il en ai .
Parce que vous pensez tout savoir,
Alors que vous n'avez pas conscience de ce qui ce passe réellement,
Et vous êtes élevé pour penser cela...
Gentils petits chiens.

Moi ce qui me rend folle,
C'est que vous pensez que la vie c'est travailler de 8h à 18h tout les jours sans vous arrêtez,
Tout ça pour un salaire médiocre,
Qui repartira sur le marché,
Remplissant les poches d'un gouvernement insatiable.
Que comme loisir, vous regardez la télé sans vous rendre compte que les médias vous lobotomise à petits feu.
Parce que l'eau que vous buvez vous abruti autant qu'un rail de coke,
Elle vous endors fermant votre capacité à voir de

en relation

CET ANIMAL ETRANGE
6478 mots | 26 pages

En gros, je suis un vieux … sanglier. Je ne dis pas un porc ; un vieux sanglier encore gourmand et attiré par les petites femelles de rencontre. Oui, citoyen honorable, marié, père d’enfant adolescents et nanti d’une position sociale enviable, je suis resté – ou peut-être devenu – ce que les français appellent « un chasseur ». (Cherche à dire je suis simple - Penser à lier) (Cabotine)….

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Réécriture de Julien bracq
541 mots | 3 pages

Pourquoi la suivait-elle ? Allait-il lui parler ? Elle décida d'accélérer sa marche. Quelques minutes après avoir un peu distancié l'homme, elle se retrouva l'eau jusqu'aux chevilles dans une flaque à laquelle elle n'avait pas prêté attention.….

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882 mots | 4 pages

Résumé du livre Caravane Nouvelle 1: Friperie. C’est une jeune femme qui entra dans une friperie pour acheter quelques vêtements mais avais remarqué quelqu’un qui ressemblais étrangement à une dame qu’elle connaissait. Durant cette nouvelle, nous apprenons que c’est sa mère, puis elle nous raconte son enfance où sa mère contrôlait tout pour elle sa façon de penser, ses vêtements, elle ne lui laissait jamais rien faire seule. Puis nous raconte le jour où sa mère lui a mis la honte lorsqu’elle est allé la chercher chez son père et la apporter dans un magasin ou il y avait tout, vêtement sac d’école chaussure.….

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Lolkikjh
313 mots | 2 pages

Une journée sans pantalons Après trois jours de vacances Ben pensa être prêt pour affronter de nouveau une semaine chargée de devoirs, projets et laboratoires. Il ne put pas se sentir mieux : il était en pleine forme et bien reposé. Mais dès que le réveille sonna, tout alla mal. Il se leva tard et s'habilla aussi rapidement que possible. En courant hors de la maison, il oublia de se brosser les dents, d'appliquer son déodorant et de manger un bon petit déjeuner.….

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Expose-the cockroach
434 mots | 2 pages

lui ai parlé - parler du bon vieux temps où les gens sont arrivés dans des voitures tirées par des chevaux avec des valises qui sent le cuir, personnes qui ont eu le petit déjeuner au lit et a chuté quelques miettes pour nous sur le tapis. Pas volontairement, bien sûr, parce que nous savions que notre place puis, aussi, et notre place était dans les coins de la salle de bains ou le bas dans la cuisine. Maintenant, nous pouvons marcher sur les tapis en toute impunité comparative, parce que les clients de l'Hôtel Duke sont trop lapidé aveugle de nous voir, ou ils n'ont pas l'énergie pour marcher sur nous s'ils ne nous voient - ou ils ont juste rire.….

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Matin brun pavloff
1956 mots | 8 pages

Les jambes allongées au soleil, on ne parlait pas vraiment avec Charlie, on échangeait des pensées qui nous couraient dans la tête, sans bien faire attention à ce que l'autre racontait de son côté. Des moments agréables où on laissait filer le temps en sirotant un café. Lorsqu'il m'a dit qu'il avait dû faire piquer son chien, ça m'a surpris, mais sans plus. C'est toujours triste un clebs qui vieillit mal, mais passé quinze ans, il faut se faire à l'idée qu'un jour ou l'autre il va mourir. - Tu comprends, je pouvais pas le faire passer pour un brun.….

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ferzgqs
450 mots | 2 pages

Il continua à avancer et bientôt la porte d’entrée fut à sa portée. Il passa néanmoins de nombreuses minutes à essayer de récupérer les clés situées dans la poche de sa veste. Ses gestes troubles et hasardeux lui faisaient perdre un temps précieux. Mais bientôt la porte fut ouverte. Et il pénétra dans la maison.….

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Paint Addict
1391 mots | 6 pages

Pourtant, il sait qu'il ne pourra leur cacher bien longtemps. Décidément, la chance est avec lui, mais pour combien de temps ? Sautant son portail, il franchit enfin le seuil de sa parcelle, heureux, exténué et inquiet. « Enfin arrivé, tout s'est bien passé » . Il se félicita lui même, se glissa par la fenêtre qu'il avait….

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Lycéen
333 mots | 2 pages

o A partir de 18h. o A partir de 19h.  Merci de nous faire part des noms des enseignants que vous souhaitez rencontrer (Attention nous ne serons peut-être pas en mesure de répondre à toutes vos demandes !)….

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La vie d'Adèle
3033 mots | 13 pages

Je pleurais des jours et des nuits, j’avais vendu ma maison, ma mère et mon père étaient morts, mon chien aussi ! Seul, à la rue, le cœur brisé, j’errais dans les rues durant des jours, des mois, des années... ou peut-être quelques minutes ? Je m’assois à même le sol en larme, je repense à toutes ces chaussettes, ces tartes au citron, ces tagues sur ma porte, un immense désespoir m’envahit, cette citation n’était qu’un guet-apens ! Un vieil homme s’assoit à côté de moi, c’était mon clodo ! « Qu’est ce que tu deviens, mon clodo ?….

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R Daction DNB
537 mots | 3 pages

Pour notre seconde rencontre deux jours après, nous nous étions donné rendez-vous près du petit lac, qui ce situait près des maisons de notre petit village. Il était 14h30, l’heure de la sieste dans le hameau. J’approchai du lac, et personne n’était là. J’étais alors seul au rendez vous. C’est avec dix minutes de retard que ma belle et bien aimer Valentine arriva.….

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Verlaine d'ardoise et de pluie guy goffette
1092 mots | 5 pages

Et qu’est-ce qu’une goutte de lait dans le sein d’une mère, si ce n’est pas déjà l’enfant qui appelle et qui crie ? » (p. 36) « Il a perdu son prénom sur les routes comme Poucet ses cailloux de pain blanc. L’enfance lui a durci le cœur comme un poing et ses yeux sont de l’azur qui coupe, comme les vers qu’il a laissés. » (p.….

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Injustices lettre ouverte travail des enfants
512 mots | 3 pages

A notre époque, les enfants qui se trouvent dans les pays les plus défavorisés, comme les pays asiatiques, le nord de l’Afrique, l’Amérique latine, se voient obligés de travailler pour ramener de l’argent à la maison, les salaires des parents n’étant pas suffisant pour vivre. Ces parents envoient donc leurs enfants travailler, mais le plus souvent, ces conditions de travail sont pittoresques. En effet, ils travaillent dans des mines, dans des carrières, dans le domaine de l’agriculture, des domaines où le danger est omniprésent Le travail des enfants est une injustice.….

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Babou
449 mots | 2 pages

Moi qui n’aimais pas du tout les fessés, j’avais tout de suite compris et j’avais arrêté. Cela n’avait duré qu’un jour, pas plus. Plus tard, au CP, tous les débuts de l’après-midi, on devait faire la sieste. Moi je ne l’avais jamais faite, peu être deux ou trois fois…….

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Fatiguée
456 mots | 2 pages

Je sens une énorme boule dans ma poitrine, comme une bombe à retardement prête à exploser. J'ai envie de sauter, de danser, de hurler, de crier, de rire, de partir, de revenir, d'écrire, de sourire, de pleurer, de bondir, de visiter le monde, de faire des tas des choses, de rencontrer des tas de gens, d'avoir un minimum d'importance, de changer quelque chose, de rester dans les mémoires mais j'arrive pas, je suis paralysée, j'aimerai bien que cette bombe à retardement explose mais je trouve pas le bouton. Je trouve pas le bouton pour que tout craque, pour craquer la couture de ce corps trop petit, trop maladroit. J'ai besoin de trouver ce bouton.….

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