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Question 1
Ce texte prouve bien que le LSD est un hallucinogène. En effet le narrateur témoigne des sensations qu'il a ressenties lors de l’ingurgitation de LSD. Albert Hofmann, décrit ce qu'il voit comme « déformé comme dans un miroir tordu ».Il raconte que les « objets familiers prirent des formes grotesques », « menaçantes », qu'ils étaient pris dans un « mouvement constant ». Hofmann affirme avoir vu des « images multicolores, fantastiques [qui] arrivaient sur [lui] ». Enfin, il assure que « chaque son produisait une image animée de forme et de couleur correspondante ». Nous constatons que les hallucinations sont de plus en plus puissantes au fil du texte.
Question 2
Nous voyons dans le document 2 que le message nerveux passe par le nerf optique, le chiasma optique et le relais cérébral avant d'atteindre le neurone B. Le document 3 nous informe sur la communication au niveau du relais cérébral : le message nerveux passe d'un neurone à un autre par l'intermède de la synapse, où les vésicules se vident de leurs neurotransmetteurs qui vont vers des récepteurs. Nous déduisons que le relais cérébral, composé de synapses, est la zone de contact entre les deux neurones. Pour finir, les messages nerveux provenant de la rétine traversent le relais cérébral pour rejoindre le cerveau en arrivant sous forme de vésicules, qui lâchent leurs neurotransmetteurs vers le neurone B. Ils traversent ensuite les récepteurs du deuxième neurone pour atteindre le cerveau.
Question 3
La sérotonine est un neurotransmetteur naturel qui permet le contact entre deux neurones. La partie de la molécule de sérotonine qui se fixe sur le récepteur a une forme semblable à celle d'une partie de la molécule de LSD. On peut donc penser que les deux molécules peuvent se fixer sur le même récepteur. C'est ce qui pourrait expliquer la quantité importante de LSD dans le relais cérébral. Ainsi, lors de l'ingurgitation de LSD, le fixation de la molécule