En conclusion, dans un système participatif l’utilisation des groupes pour les prisent de décisions et la communication bidirectionnelle sont encouragés. Chez Les Assurances Sécuriplus, ils sontinfluence plus grande sur leur comportement au travail et sur leur niveau de production que les dimensions physiques ou économiques… En bref, l’amélioration des relations humaines a permis d’accroître la productivité. » Effectivement le mouvement des relations humaines sont la productivité et la satisfaction social d’une société. Premièrement selon Lewin, «il constate que la discussion et la décision du groupe sont efficaces non seulement pour modifier les attitudes mais aussi pour assimiler de nouvelles orientations. » Et que «le leadership ne dépend pas des traits personnels, mais du phénomène des petits groupes. Il ne découle pas de la nomination formelle à un poste, mais constitue, au contraire, un rôle qui émane de la vie du groupe. »
Dans notre cas, les Assurances Sécuriplus, on peut dire qu’il ne mise pas sur le bien-être des employés, les conditions de travail et la participation de chacun pour atteindre l’objectif. Les gestionnaires ne prennent en aucun compte les commentaires des employés, pourtant cela devrait être une priorité dans le mouvement des relations humaines. «J’ai dit à Olivier LeSelleur que quand je voudrais l’entendre japper je tirerais sur sa chaîne mais qu’entre temps, je voulais le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire du travail qui lui vaudrait le respect de la direction» (cas p. 11) Cette citation nous démontre bien que l’employé n’a pas le droit de s’exprimer. M. Blanchette est conscient des difficultés rencontrées par son service mais jamais il n’interroge son groupe, il préfère se refermer sur lui-même. S’il prenait la peine d’écouter les commis, ils pourraient s’aider à éliminer plusieurs erreurs et d’augmenter son efficacité et sa productivité. Sa permettrait de faire un groupe plus dynamique, et d’accroître leurs