Gestion de portefeuille
LSMS 2016- ACTIVE PORTFOLIO MANAGEMENT- Case Study
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EQUITY ATTRIBUTION
Il s’agit ici de déterminer quelles stratégies actives prises par le gestionnaire de portefeuille sont responsables de l’excess return d’un portefeuille d’actions par rapport à un benchmark.
Collecte des données
Le mois choisi pour l’analyse est le mois de mars 2008.
Le benchmark suivi, disponible sur www.euronext.com, est l’Euronext 100, composé des 100 plus grandes capitalisations boursières cotées sur les marchés de Bruxelles, Lisbonne, Londres et Amsterdam. Il est composé de 10 secteurs[1].
Cet indice a servi de base à la construction de notre portefeuille d’actions.
Méthode
Si le gestionnaire se contente de répliquer l’index, il adopte une stratégie passive.
Ce qui nous intéresse ici est de voir comment les stratégies actives que sont la Sector Allocation et le Stock Picking peuvent contribuer efficacement à battre le benchmark choisi, à améliorer le return du portefeuille.
• La Sector Allocation consiste à sur- ou sous- pondérer certains secteurs dans le benchmark et ce, tant par rapport aux prévisions des performances futures de ces secteurs que de l’aversion au risque du détenteur du portefeuille.
• Le Stock Picking aussi appelé Stock Selection, consiste à sur- ou sous-pondérer certaines actions dans le benchmark, au sein de certains secteurs.
Le modèle de Brinson, un modèle d’attribution (avec Interaction Effect ici), rend compte très clairement de l’excédent de return par rapport au benchmark et permet de déterminer précisément son origine. Cet excédent est composé des returns additionnels provenant des deux stratégies actives pures, ainsi que de l’interaction effect, qui est une combinaison des deux stratégies sus-citées.
Calculs (mars 2008)
STRATEGIE PASSIVE
• Le return mensuel total du