Premièrement, c’est d’un pas décidé qu’Étienne se pressa de quitter Vandame, la fosse où il a travaillé comme un animal. Il marcha d’un bas décidé pour ne pas manquer le train. Tout en marchant il avait deux images qui lui passait par la tête. Celle des pauvres ouvriers condamnés à travailler pour leurs survies et celle du paysage autour de lui. Sous ses pieds, Étienne prétendait entendre le souffle de la Maheude « dont le souffle montait si rauque.» montre qu’il était si difficile de bien respirer dans cette mine de charbon que l’on croit entendre respirer les mineurs à la surface de la terre même a travers le sons bruitant d’un ventilateur. Puis, la description de la nature était, d’après Étienne, une image magnifique contrairement à la mine qu’il décrivait d’une noirceur. Le paysage donnait un sens coloré à la description puisqu’il insista sur la couleur des arbres et du soleil. Étienne décrit le printemps avec vénération. « Le soleil d’avril rayonnait dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantait.» Cette citation à pour but de mettre un appui sur l’arrivé du printemps tout en introduisant de la couleur à la vie. Le soleil était glorieux, puisque tout le monde l’attendait avec impatience et échauffant avec soins comme une mère qui prend soins de son enfant. La description des bourgeons insiste sur la présence de la chaleur, ainsi que sur la présence de la végétation. « Les bourgeons crevait en feuille verte.» Il y avait tant de feuilles vertes que les bourgeons en avaient trop. Bref, la nature débordait de bons cotés, la gradation de la végétation « des graines se gonflaient, s’allongeaient, gerçaient la plaine.» illustre la beauté de la croissance de la végétation.

Ensuite, le sens du mot germinal présente l’arrivé du printemps tout en évoquant la beauté de la nature. À l’origine, l’histoire de germinal porte sur la vie dur et pénible des ouvriers qui attendent tous avec impatience l’arrivé du printemps, le temps ou le sol se met à