Georges Perec dans les années 1970Nino Goossen, S3287637I) « Approches de quoi ? » 1) Perec vise à décrire « l’infra-ordinaire ». Expliquez ce terme, dans son opposition à « l’extra-ordinaire » (début du texte). - Comme mentionné, c'est le contraire d'extraordinaire. C'est ce que nous voyons tous les jours qui n'est pas spectaculaire. 2) Pourquoi, selon Perec, oublions-nous d’interroger l’infra-ordinaire ? - Parce qu'on le voit tous les jours, on s'y est tellement habitué qu'on ne le remarque plus. …afficher plus de contenu…

« tentative » ? Est-il possible d’épuiser un lieu ? - « Tentative », car ce n’est pas vraiment possible de noter / observer tout ce qui ce passe qu’on voit. - « Epuisement », 3) La méthode de Perec : observer et « décrire » - Pourquoi note-t-il les conditions de l’observation ? (le lieu précis, le moment/l’heure, le temps qu’il fait, ce qu’il mange et boit … ) - Perec veut observer tout ce qu'il voit et ajoute autant de choses qu'il voit, comme le temps, le lieu, etc. Cela s'ajoute à sa recherche scientifique.- Pourquoi son poste d’observation est-il si important ? est-il toujours le même ?- Je ne sais pas exactement pourquoi sa place est si importante, mais je pensais que c'était parce qu'il a un bon point de vue là où il est …afficher plus de contenu…

- quelque chose de très simple qui arrive tous les jours, comme un bus qui passe par exemple.5) Perec compte tout, dans ce texte. Pourquoi ? Que vise-t-il à saisir ? - Perec écrit une recherche scientifique et observe et écrit tout ce qu'il voit, donc le nombre de choses qu'il voit est également important pour lui.6) Ce texte est-il une description neutre, objective ? ou voyez-vous des signes de subjectivité - la plupart du temps, il est très objectif, mais parfois il ajoute son opinion sur certaines choses, comme une "femme élégante" ou un "sac laid". Ce qui est donc subjectif III) A. Schulte Nordholt : « Georges Perec, topographies du flâneur“ 1) Quelle est en gros l’évolution du flâneur, au 19e siècle