ge gerh gerg
De plus, la dérivationde « rire » avec « elle rit » (l.3) « rit » (l.4) et « d’un rire insensé, d’un rire de fin du jour » (l.4 et regjo nernb irgeiuhigrehuighei rgho ujjgjger nigerojgoejro gjoegh oehrgeh ogoer hgoejgrojego nbiejrhif ewgjoej eijogj eo gek ergn jekr g enolgj nejlcourtoise. Ainsi, le terme « épée » (l.1) renvoie au Moyen-Age. Le poème est donc une offrande pour la femme aimée.
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