freud l'interprétation des rêves
Ce texte est tiré de l'Interprétation des rêves de Freud, livre majeur de la psychanalyse. Le rêve est la clef de l'inconscient.
L1 : on a une affirmation importante. Le rêve, pour Freud, a un sens psychologique. (Avant le rêve était considéré comme des images mentales désordonnées, il pouvait être prémonitoire.) Ici Freud voit dans le rêve la satisfaction en quelque sorte hallucinatoire d'un désir. En fin de compte par le rêve je peux réaliser la satisfaction d'un besoin, ie que le Moi ici peut en quelque sorte se passer de l'action, cela lui permet d'être apaisé : si j'ai envie de boire, je peux par le rêve, satisfaire mon envie de boire. Dans ce cas, la phrase de Freud prend tout son sens ; le rêve est un désir réalisé.
L2 : le rêve est synonyme d'échec. La passiante de Freud on apprend qu'elle doit renoncer à donner un dîner puisqu'elle ne peut pas, dans son rêve, ni faire appelle à des fournisseurs, elle ne peut pas faire non plus ses achats. Peu de rêves, dira Freud, vont traduire directement la satisfaction d'un désir. On peut même dire qu'en règle générale le rêve apparait souvent comme étranger et parfois contraire à notre désir. Un rêve doit être interprété.
"Au bout d'un moment... résistance"
Dans une séance, le patient doit dire tout ce qu'il lui passe dans la tête (c'est la régle de NON OMISSION) comme on peut le voir dans le texte. Ce ne sont pas les 1ères penser qui viennent à l'esprit de la malade qui vont servir l'interprétation car la malade oppose des résistances, celles-ci vont bloquer l'inconscient. Les résistances qui vont bloquer l'inconscient : les idées, les souvenirs auxquels je ne pense pas dans le présent (qui sont dans un état pré-conscient) mais je sais qu'ils peuvent réapparaître à l'esprit
Les penser inconsciente restent inconscientent car elles sont refoulées par le MOI dans les profondeurs de l'inconscient, que l'inconscient refoulé porte quand même la marque d'un conflit