Dans son roman, Béni ou le paradis privé, Azouz Begag se plonge dans la question de l’identité et comment on se trouve dans la foule. Il y a certains personnages qui choisissent clairement de vivre sous une certaine culture. Abboué est quelqu’un qui choisit de vivre toujours comme un Arabe même s’il se trouve en France. Au contraire, Béni, le personnage principal dans le roman, a plusieurs problèmes a s’associer à une culture spécifique. Il a une « collision des deux cultures » (3) qui sont celle française et celle arabe. Cette « collision » développe un conflit d’identité à l’intérieur de Béni qui est illustré à travers le roman. En fait, ça laisse Béni divisé entre ces deux cultures. Au début, j’explique son rêve d’être français comme les autres. Après, je parle de son respect de son héritage et sa culture Maghrébine ensuite je conclu avec le conflit entre ses deux identités et ce que ce conflit dit sur l’identité. La première fois qu’on voit ce conflit est quand la famille de Béni va a la fête de la place Guichard. Béni veut être comme les autres en sachant les chansons : « moi aussi me lever pour aller me promener au milieu de la foule » (1, p.9). Heureusement, Béni entend pas hasard la réponse pour une des chansons et il gagne le prix. Cette exemple montre que Béni a envie d’être « français » comme les autres enfants mais il ne peut pas et alors il doit donner tout ce qu’il a pour réussir dans quelques moments en étant français. De plus, il y a plusieurs exemples quand Béni choisit la culture française et abandonne la culture arabe de sa famille. Quand il décrit ses projets a lui-même pour l’avenir il raconte : « dans mon cœur…il y a une Française » (1, p.120). On peut aussi voir ce choix culturel de Béni en réalisant que la fille de ses rêves s’appelle France (2). La famille de Béni aussi occasionnellement remarque ce choix culturel. La mère de Béni lui dit : « La France vous a pris » (1, p.118) Plus vers la fin du roman, Béni pense à toutes les choses