Français ds la 1èree gm
Alice 1ES2
Le document présente le journal «Le Matin» datant du samedi 22 août 1914. Le président de ce journal était Jules Madeline et le rédacteur en chef était Stéphane Lauzanne. Comme l'indique la date, nous étions en état de guerre. La liberté d'expression a était remplacé par la propagande. Tout ce qui a était dit dans ce journal est différent de la réalité. Par exemple, dans l'article sur le lieutenant Mesureur, il fut question de son évacuation temporaire dans une formation sanitaire de l'arrière et qu'il en a profité pour aller embrasser sa famille et sa femme à Paris. Tout cela est bien sûr faux, le lieutenant a commis une mutinerie.
J'ai choisi de prendre l'article «après un engagement de cavalerie». Tout d'abord, la photographie est une propagande car nous parlons de l'engagement de cavalerie mais non de l'engagement des soldats ce qui est pour ma part beaucoup plus important.
Puis la citation du journaliste «Ces avantages ont tune valeur morale qu'il est bon de signaler; il convient d'ailleurs de ne point de s'en exagérer l'importance», c'est-à-dire qu'il convient de signaler les victoires des Français et non la vie quotidienne et l'horreur que subissent les soldats, il y a une contradiction car il dit de ne pas s'en exagérer alors que tout l'article est une exagération. Donc ce qu'il dit est totalement faux. C'est une campagne contre les horreurs de la guerre.
De plus, les Français pensent que la guerre ne durera que quelques semaines: «journée de lutte-quelques uns parlent de semaines». L'utilisation de «autre Parisiens» dans l'article donne le sentiment de supériorité des Français et de la brutalité des Allemands: «les pilleurs de cadavres». Il parle de la guerre comme un simple fait divers, une invention: «De quelques pas qu'elle marche, la minute est toute proche où le choc attendu va se produire sur le front».
Enfin, il parle des soldats Autrichiens,Belges mais jamais des soldats Français.
Pour conclure, je constate que