Francais
-Plusieurs fonctions du tatouage : distinction, signe d’appartenance à un clan, esthétique…
-Le tatouage est une pratique très ancienne issue du peuple Maori.
-Connotations anciennes : magiques, curatives, préventives
-Une évolution du tatouage dans la médecine, grâce au développement technologique.
Conclusion :
-Grâce au développement de la technologie, le matériel de tatouage a su évoluer.
-On trouve, de nos jours, une utilisation plus adaptée aux besoins actuels mais restreinte.
-On a recours au tatouage à plusieurs titres : préventifs, reconstructeur et réparateur.
- Les recherches et les expériences thérapeutiques continuent et tentent de faire avancer les choses.
I) Les civilisations et la fonction thérapeutique du tatouage a) La foi de certaines civilisations en la magie du tatouage
-Plusieurs découvertes de momies tatouées.
-La scarification, la cautérisation ainsi que le tatouage sont pratiqués à des fins thérapeutiques ou préventives. Tout ceci rentre dans la médecine traditionnelle.
-On retrouvait déjà le marquage corporel sur des femmes de l’Egypte ancienne, il y a environ 2000 ans av. JC.
-Dans les civilisations antiques, il était raccordé à un signe « magique », curatif ou encore préventif.
-L’encre était fabriquée à base de fumée et de lait de femme. Elle était ensuite insérée dans la peau à l’aide d’une aiguille.
-En Egypte, à chaque signe sa signification.
-D’autres régions pratiquent ou pratiquaient le tatouage médical : l’Afrique, l’Océanie, Nord-est de l’Inde (les Rabaris), la Thaïlande…
-Le but de prévenir la maladie ou de la guérir lorsque celle-ci se déclare est commun à tous ces peuples bien que les méthodes diffèrent.
-La scarification peut parfois être effectuée dans un but médical.
-Endroits scarifiés ou tatoués sont étrangement proches des points d’acupuncture.
-Ces fonctions médicales ont eu tendance à s’effacer avec le temps pour laisser place à des fonctions décoratives et esthétiques (en