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Dans certains états américains et pays, un acte est encore d’actualité. Il a pour but de punir des personnes coupables. La question que nous nous posons tous est : la personne jugée est-elle déjà morte avant même de passer sous le tranchant de la guillotine ? La peine de mort ne réside pas seulement dans l’exécution du condamné, il peut se sentir déjà mort avant l’exécution. En revanche, la personne jugée est morte que lorsque sa tête est coupée et que son cœur s’arrête de battre. La peine de mort peut être considérée comme une mort programmée où le condamné met en péril sa vie sociale. Néanmoins, si le condamné trouve une passion dans laquelle se réfugier, ca peut le rendre actif.
Pour commencer, la peine de mort est considérée comme une mort programmée. Le condamné sait qu’il va mourir, comment il va mourir mais il ne sait pas quand. Le condamné à mort peut considérer ça comme une maladie incurable. L’attente est une certaine forme de torture mentale. Les autorités parlent de la guillotine comme un moyen efficace et simple mais ils ne prennent pas en compte les six semaines de torture intellectuelle que vit le prisonnier. Par exemple, à la page 78 du livre Le dernier jour d’un condamné de Victor Hugo, il y a un extrait qui dit « dans deux heures je serais guéri ». Pour le personnage principal, la guillotine va mettre fin à ses douleurs, à ses inquiétudes et il se sentira libéré.
Ensuite, on peut parler de mort social. Le condamné n’a plus de relation normale, il peut se sentir seul et abandonné par les autres car il va mourir. Certaines personnes peuvent se moquer de lui et le rejeter. Pour éviter cela, il s’isole de la société et s’éloigne du monde qui l’entoure. C’est une mort qui fait du personnage un être en qui