En 1920, pendant une journée divers, exactement le 23 décembre, toutes les personnes du centre psychiatrique de Paris étais de sortis au musée d’Orsay pour une exposition du peintre Gustave Courbet. C’était une des premières expositions de ce peintre à Paris, ces venus y étaient très rares. Le personnels pense que de faire sortir leurs malade leurs ferais le plus grand bien et ils aimeraient que leurs patients admire toutes ces peintures et découvre l’art dans toute sa splendeur. Dans ce groupe de malade, il y avait une personne qui n’étais pas comme les autres patient, c’était un hom+me qui aimé les femmes, il les aimés plus que ce qu’il s’aimait lui-même. Cet homme était un « fou » de gente féminine, ce qui expliqua sa venu dans cet hôpital psychiatrique. Il s’appelait Pierre, Pierre Corto. Cet homme n’as jamais pu avoir d’épouse, car il était tellement amoureux de toute les femmes qu’il pouvait rencontrer sur son chemin, qu’il fini par s’oubli lui-même et consacra sa vie rien qu’aux femmes. Après plusieurs année il devenait fou, ce n’étais plus de l’amour pour la femme, mais une obsession,
Sans femme il ne pouvait plus être lui-même, il devenait violent et ne supportais pas de rester seul, voila pourquoi il passa plusieurs année à faire de la psychothérapie. Dans l’après midi toutes les personnes du centre Hospitalier et leurs patient s’apprêtèrent à partir au musée. Le musée étais a quelques pas du centre, le personnels avaient donc décidé que c’étais plus prudent de faire ce trajet pied avec les patients.
Tous les malades étais heureux de sortir de cette grande bâtisse qu’il ne quittait jamais, ils étaient tous émus de voir les si beaux quartiers de Paris et de sentir l’air qui pour eux, désigner la liberté. Ils ne se rappelaient plus l’odeur de certaines choses, comme les fleurs des parcs, les odeurs de la nourriture des restaurants et se rappelait même pas de certaines rues ou maison... Pierre par contre, lui, reconnaissait très bien l’odeur de ces