Francais SACHA
Dans le début de l'extrait, des lignes 1 à 3 que l'on peut appeler « introduction : description positive de la soirée », on nous parle d'une soirée très heureuse, « déclara ne jamais avoir passé des heures plus agréables » l.3 qui est ici une hyperbole démontrant l'aspect de joie à cette soirée.
On peut aussi remarquer la présence d'un champ lexical du bonheur des lignes 1 à 15, « gaïté » l.2, « agréables » l.3, « joie » l.4, « amusait » l.10 ou bien encore « plaisanterie » l.15 qui montre aussi bien que le début de la soirée se passe dans une atmosphère agréables et joyeuse. Dans la fin de l'extrait, des lignes 80 à 84, que l'on peut appeler « une situation finale morbide ». On retrouve le champ lexical de la mort, « cadavres » l.80, « carreau » l.80, « tordus » l.80, « vautrés » l.80, « lueurs jaunâtres » l.80 qui permet d'augmenter la description cadavérique de la scène.
On trouve aussi une opposition entre « lueurs jaunâtres » l.80 et « clartés » l.81, « éclairés de lueurs jaunâtres par la clartés de la lampe » l.81 qui permet d'augmenter le sentiment de mort chez le lecteurs.
L'effet de mort est aussi renforcé par l'accumulation « tordus, vautrés, éclairés de lueurs jaunâtres » l.80-81
Dans cette partie on trouve aussi deux personnification. « l'abat-jour jetait sur eux » l.81 qui montre que la lampe jette de la lumière. Cela donne l'impression au lecteur d’être dans un environnement d'horreur. Et aussi la personnification « les écrasant de regard lourds » l.84
b) Un ménage voué a l'échec: une fatalité inesquivable
Contraste entre le ménages de Suzanne et Olivier, qui elle « était enceinte » l.4 et qui a un couple presque parfait, avec un maris drôle et policier, un enfant a venir au ménages de Thérèse et Laurent qui est voué a l’échec.
A plus grande échelle, on a un contraste entre la famille de Michaud qui est drôle, constamment tourné vers l'humour « plaisanterie d'homme de police » l.15