franc ais2nde deuxieme commentaire la parure
La nouvelle réaliste de Maupassant, La Parure, écrite en 1884 s’inscrit dans cette logique car il nous présente la situation économique et sociale de l’époque à travers d’un personnage. Tout d’abord, nous analyserons l’incipit de cette œuvre lequel nous présente une jeune fille qui est en constante souffrance à cause de sa condition économique et sociale moyenne, une fille qui rêve avec une meilleur vie, une vie qu’elle croit mériter. Nous métrons alors en évidence dans un premier temps, un personnage féminin anonyme qui rêve. Nous analyserons ensuite un personnage qui souffre. Et finalement, nous observerons le portrait pathétique de ce personnage.
Connaître le personnage depuis le début du texte est une pratique assez courante dans la plupart des romans.
À différence des autres, dans ce récit l’auteur a décidé de nous présenter un personnage féminin qui reste anonyme.
L’écrivain décrit au personnage comme « une de ces jolies charmantes filles » l 1 et dans la majorité du récit il se réfère au personnage avec le pronom personnel féminin du singulier « elle »l 2, 3, 5, 9,13…
À cette époque une grande quantité des filles ne pouvaient pas atteindre ses rêves à cause de la situation économique de la famille dans lesquels elles naissaient. La seule chose qu’elles pouvaient faire était de rêver avec la vie parfaite. Et ce personnage n’est pas l’exception. Maupassant nous raconte que cette fille est née « comme par erreur du destin, dans une fille d’employés »l1 et que « elle (n’a pas de dot), pas d’espérances, aucun moyen