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Trois facteurs semblent marquer l’évolution du monde moderne.
• La violence avec les guerres, les régimes oppressifs, l’intégrisme. • Les profits qui miment les règles de la solidarité humaine. • La vitesse : nous sommes dans un monde en perpétuel mouvement où il faut constamment s’adapter sous peine d’être dépasser dans le monde du travail, des contraintes liées aux horaires et à la rapidité dans l’exécution des tâches créant une forme d’esclavage. • En conséquence, il y a une désorganisation des structures sociales (liens familiaux et affectifs distendus), les valeurs morales étant de moins en moins prises en compte. • Un monde à deux vitesses avec une minorité jouissant même du superflu et une écrasante majorité affligée par la misère. • Destruction de la nature. • Pire, des moyens colossaux sont consacrés à l’exploration de l’espace. Quels profits l’humanité tirent-elles de la connaissance de Mars ou de la naissance de notre système solaire ? N’est-il pas plus urgent de trouver des remèdes à des maux plus terriens comme la pauvreté ? Et l’ignorance ?
I. Civilisation moderne et bonheur de l’homme.
Une comparaison objective du passé et du présent permet de voir tous les apports positifs du modernisme.
• Au niveau des conditions de vie avec une augmentation croissante du confort. • Au niveau du sanitaire avec les prodigieux progrès de la médecine entrainant un relèvement de l’espérance de vie. • Par ailleurs, notre soif de connaissance, est progressivement comblée par une compréhension, chaque jour plus large de l’univers. • D’un autre coté, les infrastructures communautaires concourent au bonheur général. • Enfin, il se crée de nouvelles solidarités par la coopération, et le développement des communications, rendant les uns plus attentifs à la misère des