D’abord, on peut dire que le thème de la femme issu de la classe ouvrière présenté de la même manière dans les textes «la vie d’factrie» et de l’extrait «Chu tannée de mener une maudite vie plate!» de la pièce de théâtre Les Belles-Sœurs puisqu’ils présentent des femme comme ayant un travail qu’elles apprécient peu. En effet, dans l’extrait chu tanné de ma maudite vie plate, les femmes ont un sentiment d’amertume envers leur travail : «Là, là, j’travaille comme une enragée, jusqu’à midi […] Pis frotte, pis tord pis refrotte, C’t’écoeurant, j’ai les mains rouges, j’t’écœurée. J’sacre.[…] L’après-midi j’étends. Ça, c’est mortel, j’haïs ça comme un bonne!»(L.7 à 11). L’utilisation du terme enragée tisse un lien entre la femme qui travail et une personne atteinte d’une rage incontrôlable. De plus, par l’utilisation de l’adjectif mortel pour décrire la tache présente le travail comme étant très ennuyeux. Pour sa part, Clémence Desrocher présente l’ennui présent au travail lorsqu’elle présente la fin d’une journée travail en agréable moment : «Quand la sirèn’ crie délivrance, C’est l’cas de l’dir, j’suis au coton, Mais c’est comm’ dans ma p’tite enfance, la cloch pour la récréation». Par l’usage du nom délivrance pour désigner la fin du journée de travail, cette sirène est comme une sorte de soulagement. De plus, la jeune fille est à bout de force, compare ce moment à un temps de repos, de liberté accordé aux enfants entres les heures de classe, pour qu’ils puissent jouer ou se délasser. Ainsi, le thème de la femme issue de la classe ouvrière est présenté de la même manière dans les deux texte puisque Desrocher et Tremblay soulignent tous les deux la lassitude que les femmes ont envers leurs travail. C’est ainsi qu’ils présentent tous deux une vision négative de ces