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La problématique peut alors s'énoncer de manière très lapidaire :
L'auteur se moque-t-il de nous avec ce texte qui échappe aux normes du bon sens, de l'esthétique poétique classique et même de la morale ?
Quel plan adopter ?
On a vu que la principale caractéristique formelle de ce texte est de ne pas respecter la forme poétique attendue. De quelle sorte de poésie s'agit-il donc ? Il faudra terminer par cet aspect sachant que les poètes surréalistes reconnaissent Lautréamont comme leur précurseur.
Mais comment commencer ? Comme d'habitude, par le plus évident ! Or, ici, ce qui frappe, ce sont le cynisme, le sarcasme et la méchanceté de l'énonciateur Moldoror qui se dévoilent peu à peu jusqu'à la dernière phrase terrible. On assiste à une manipulation et à une provocation du lecteur.
Ensuite, il y a une complaisance dans l'évocation du pou anthropophage. L'horreur, le sadisme et la monstruosité sont si exagérés que cela en devient burlesque : une sorte de rire noir, car l'humour est plus fin.
On peut annoncer le plan ainsi : d'aurore ?) ressemble furieusement à la figure de Satan. D'abord, il semble mettre en garde l'homme contre les dangers du pou, ou plutôt des intentions du pou. Ensuite, il se rejouit du mal que ce pou monstrueux a pu déjà faire à l'humanité. Enfin, il souhaite qu'il lui en fasse encore plus à l'avenir !!!
La problématique peut alors s'énoncer de manière très lapidaire :
L'auteur se moque-t-il de nous avec ce texte qui échappe aux normes du bon sens, de l'esthétique poétique classique et même de la morale ?
Quel plan adopter ?