Finance
Tenter de traiter cette dimension essentielle, puisqu’il s’agit d’immobilier, consiste à admettre au préalable que chaque projet est spécifique et que les solutions retenues pour tel immeuble rehaussé seront différentes de celles approuvées pour tel autre.
Aussi, les repères, plus économiques que techniques, que nous allons nous efforcer de dégager resteront suffisamment généraux pour valoir sur une grande majorité de projets indépendamment des solutions constructives mises en œuvre.
Ciblage de l’immeuble – Diagnostic associé :
L’immeuble visé possédera quelques caractéristiques intrinsèques qui doivent le rendre éligible au plan urbanistique et techniquement propice à une surélévation : une situation vis-à-vis du PLU Plan Local d’Urbanisme (ex-POS) qui autorise la surélévation du bien. Cette condition peut nécessiter le conseil d’un architecte connaissant bien la zone concernée pour être convenablement remplie.
Ce travail préalable à tout autre permettra de s’assurer de l’ensemble des conditions réglementaires à respecter pour envisager un tel projet (accessibilité, places de stationnement,…)en plus du potentiel constructible pur lié à la réhausse de l’immeuble.
Coût entre 1500 et 3000€
une structure solide, saine qui doit permettre de supporter, sans gros confortement structurel, l’addition de un voire deux niveaux supplémentaires. Le diagnostic s’attachera à valider les capacités des murs porteurs autant que des fondations elles-mêmes. Le diagnostic n’étant pas déconnecté de la nature du projet visé, il prendra en compte la possibilité de créer des volumes supplémentaires après démontage des toitures ainsi que les accès nouveaux (ascenseurs, escaliers, …)tous éléments clés de la fonctionnalité de l’immeuble.
Le diagnostic peut nécessiter des investigations physiques (sondages) particulières permettant de confirmer les hypothèses avec certitude, il sera conduit par un bureau