fiche phèdre fin de la pièce Racine
Racine.
1ère étape : auto-accusation
2ème étape : accusation d’Oenone.
3ème étape : vers 13 : coordination d’opposition, conséquence tragique d’un passion inavouée. -> mort de Phèdre.
Phèdre, passionnément éprise d’Hyppolite (non réciproque). question morale, fondamentale/obsessionnelle.
Phèdre croit son époux mort et se crée un rêve : relation avec le fils de Thésée.
Phèdre va de façon lucide s’accuser des moments chers qu’elle à entretenu. Elle remet sur elle-même toute la faute, toute la culpabilité dans un élan moral. Elle se déclare honteuse, franche, la faute ne semble se réduire qu’a elle : possessif : me.
Nous découvrons un vers coupé en son milieu : révèle l’émotion qui hacherait sa déclaration et en rappellerait la difficulté.
2ème coupure : met en relief Thésée.
Semble nourrir un instant pathétique, l’émotion est à son comble, mais on voit bien que Phèdre en est au moment de rendre des comptes.
Thésée : son arrêté : semble rendre le moment important : doutes, hésitations plus permises.
Occurrence du « me » qui déïctise la personne, insiste sur cette personne révélant la détermination de Phèdre et sa responsabilité.
Le « c’est moi » passif et démonstratif fixe la faute dans l’histoire. Elle va libérer totalement Hypo de toutes éventuelles erreurs -> vertu du côté d’Hypo.
2 qualificatifs pour Hyppolite, car elle entretient une image positive de lui.
Rimes suivies : simultanément elles vont réunir et opposer les deux protagonistes (respectueux (Hypo), incestueux (Phèdre))
3ème vers : coupure met en relief « incestueux » -> en fin de vers.
Verbe, temps qu’elle emploie : oser, passé simple, se permettre ce qu’elle ne devrait pas.
Le sentiment à dépasser la raison.
Adj. : inattendu : œil profane.
Système d’opposition par un oxymore car profane = pur, mais d’un cöté religieux = impur.
Phèdre n’a pu empêcher sa passion. Elle est par rapport à son mari responsable de son désir.
? : Morale simple opposée à morale religieuse.
V.4 : elle