Fiche de lecture hannah harendt
Chapitre I : une société sans classe.
Chapitre II : le mouvement totalitaire.
I – Hannah Harendt
Philosophe allemande née en 1906 à Hanovre, meurt en 1975 aux états unis. Elève de Heidegger et de Jaspers, ses travaux sont basés sur l’activité politique, le totalitarisme et la modernité d’un point de vue philosophique et historique. Elle écrit notamment du fait de ses recherches sur le totalitarisme « le système totalitaire » qui vaut encore aujourd’hui son pesant d’or malgré une remise en cause de son analyse de ce système. Les deux premiers chapitres abordés ici font état de ce qu’elle appelle le mouvement totalitaire, différent du système totalitaire, de la dictature du parti unique, et qui repose sur des spécificités à relever.
II – les fondements du mouvement totalitaire.
A) la masse.
La société bourgeoise avait provoqué l’hostilité des couches sociales quelles exploitait et quelle excluait en mm temps (l’appartenance a une classe dépend de la naissance). Les mouvements totalitaires remettent en causes des idéaux véhiculés par la démocratie : elle peut fonctionner selon les règles établies par une minorité et les masses ne sont qu’une toile de fond et sont sans importances. L’effondrement du système de classe a effondré le système des partis. Les masses ne guérissent jamais de l’illusion crée par les systèmes totalitaires contrairement a ce qu’on croit. La popularité des totalitariste comme Hitler ou Staline repose sur l’appui et le soutien de ces masses ; leurs régimes n’auraient pas survécu notamment a cause des crise internes et externes provoqués s’il n y avait pas eu l’appui des masses. Cette popularité n’est pas le fruit d’une propagande mensongère vu que les candidats a la dictature totalitaire « se ventent de leur crime passés et de leur crime futurs » ; de plus les partisans trouvent ces actes ingénieux. Les mouvements