Femme au 19eme sielce
La moitié des ouvriers français travaillaient dans les mines et usines. À cette époque les ouvriers étaient considérés comme des animaux. Ils n’avaient quasiment pas d’autres connaissances que les gens de la mine.
Villerue donne la description suivante
« il faut les voir arriver chaque matin en ville, et en partir chaque soir. Ils y a parmi eux une multitude de femmes pâles, maigres, marchant pied nus dans la boue…et un nombre considérable de jeunes enfants couvert de haillons, tous gras de l’huile tombée sur eux pendant qu’ils travaillaient… »
L’ouvrier ne se plaint pas des conditions de travail.
« Pensez donc, on vient ici en sortant de l’école et on s’en va que quand on n’est plus bon à rien. »
Ils ont tout de même des conditions déplorables. Dans les usines, le bruit est permanent, la température élevée l’été, glaciale l’hiver. La malpropreté règne, entre autre à cause de l’utilisation d’huile. L’insécurité est présente tout au long de la journée, l’ouvrier est toujours menacé par les chutes de pièces, les courroies des machines qui cassent…la sécurité est mal assurée. Le travail dans les fabriques est très éprouvant physiquement comme moralement. A tout ceci, s’ajoute la fatigue des trajets: la plupart des ouvriers habitent à la campagne, ils ont de longues distances à parcourir à pied. Ces faiblesses physiques et morales sont alors très propices aux développements de maladies. Les usines manquent d’endroits de repos et pour le repas. Ce travail pénible provoque un taux de mortalité plus élevé dans cette classe ouvrière que dans les autres.
Les ouvriers de ces temps là sont exploités cruellement, leurs conditions déplorables, inacceptables. Les ouvriers font référence à l’enfer. Corruption et vices règnent, et l’existence de ces malheureux, auxquels une étincelle pourrait rendre leur dignité d’hommes, se passe entre l’alcool et les femmes. Telle est la vision décrite.
Ces ouvriers de cette