Faut-il reduire les deficits publcs
Au sein des institutions bancaires le risque fait partie du métier. En acceptant les dépôts des clients sans les conserver dans son coffre pour lui rendre à sa demande ou à une date déterminée, le banquier prend un risque. Et dans ce cas d'école son coffre peut fracturer et il peut être mis dans l'incapacité de remplir ses obligations le risque est donc lié à une pratique de l'activité bancaire dans un monde incertain.
Ainsi, la gestion des risques doit être le mot-clé sur lesquels les responsables des banques doivent agir pour ne pas heurter à la cessation des activités. La gestion des risques appelée également gestion de l'exposition, elle est définie selon l'International Financial Risk Instute comme «l'application de l'analyse financière et de divers instruments financiers au contrôle et à la réduction des types de risques sélectionnés »
L'environnement économique et financier des pays africains est devenu de plus en plus source de risques, voir dangereux pour les banques qui y vivent, mais qui peuvent aussi mourir des risques qu'elles ont pris. Du fait de ces mutations, les banques ont relevé des défis exceptionnels afin de se doter d'avantages concurrentiels déterminants. La banque, en effet, ressemble de plus en plus à une « machine à risque » : elle prend des risques, les transforme et les incorpore au service et aux produits bancaires qu'elle offre. Mais comment mesurer et améliorer l'efficacité d'une telle machine. Sachant que le risque opérationnel est un risque important pour l'activité bancaire, bien qu'il soit parfois difficile à appréhender et à quantifier il peut être à l'origine de pertes significatives voir de faillites. À