Faut-il dire la vérité, ou bien user de complaisance?
Ou bien user de complaisance ? Dans une société dans laquelle l’opinion des autres a une importance énorme, la plupart d’entre nous usons de complaisance. En d’autres termes, nous adaptons nos propos aux gouts et aux désirs des personnes. Je cite alors Térence qui disait « La complaisance fait des amis, la franchise engendre la haine ». Une question s’impose alors d’elle même : Ou se place la limite entre la complaisance et la morale ? Pour ma part, l’honnêteté fait partie des valeurs primordiale dans une relation quelle qu’elle soit. Cependant, Chaque situation est différente et un avis tranché serait la preuve d’une fermeture d’esprit. Le sujet est trop vaste pour prétendre établir une tendance universelle. Nous allons donc tenter, tout au long du développement, de cerner l’opinion des deux camps pour tenter de prendre parti.
D’une part, le plus simple est d’appuyer la vérité. Les grands discours humanistes sur la bonté des hommes nous y poussent d’une certaine manière. Nous avons une sorte de devoir morale envers les autres, envers nous même. Dans un monde utopique, nous devrions pouvoir dire l’entièreté de nos pensées sans craindre d’offenser autrui. Tout comme ces personnes ne devraient pas être offensé par une vérité qui au font n’est qu’une vérité personnelle. Comme l’a dit Eric Emmanuel Schmitt « Qu’est ce que la vérité ? Il y a la tienne, la mienne et celle de tout les autres. Toute vérité n’est que la vérité de celui qui l’a dite. Il y a autant de vérités que d’individus». C’est pourquoi, la vérité est aux yeux de certains la meilleure solution ainsi que la plus simple. Il suffit; en fin de compte, d’accepter l’avis des autres et compter sur le fait que tout le monde accepte notre opinion.
D’autre part, il existe ce sentiment que l’on ressent lorsque nous ne sommes pas tout à fait sincères envers les autres : La culpabilité. Personne n’aime avoir a se demandé si nous avons fait le bon choix,