Fables
Les paysans et la cour étaient tous conviés
A ce qui allait être une grande confrontation.
Le plus féroce des animaux le lion
Face au plus humble des personnage le curé.
« Allez, avouez, vous êtes un mauvais curé ,
Vous prenez la bourse des bons chrétiens
Pour vous faire du bien, tandis qu'on mange comme des chiens »
« Sire c'est insensé, je ne ferai de telles actes,
Ce serait déplacé et un manque de tact »
Léchant ces babines, le lion encore à jeun
Répliqua de sans froid « Je n'en n'ai point la preuve ! »
« La nourriture que vous mangez est une des œuvres »
« Je me souviens avoir mangé depuis fort lointain ;
Monsieur le curé la mauvaise foi vous tuera
Pour punition j'ordonne que vous soyez mon festin »
Sur ces mots, le courageux perroquet survint
« Comment votre majesté, pouvez-vous faire ça?
Je vous ai surprit cette nuit
En train de vous faufiler sans discrétion dans
La chambre du malheureux près à bondir sur lui
Vous n'êtes qu'un monstre assoiffé de sang
Je prend mon courage à deux ailes
Pour dire tout cela, devant tous
Les animaux, savent que vous êtes criminel
Vous n'entretenez que vous même et votre frimousse »
Le lion stupéfait par cette interaction
Ne pu se contenir, son ventre criait famine
Il sortit ses crocs et canines
Fit un bon et dévora le pauvre oisillon
Et aussi l'innocent curé.
C'est ainsi que les plus affamés font justice,
Selon que vous soyez puissants ou misérables
La vérité refait toujours