Exposé sur le cendrillon de perrault
II Plan de l’œuvre
III. Signification des morales
IV. Cendrillon à travers les différentes cultures
I. Un riche gentilhomme, veuf, père d’une fille très belle, très douce, très bonne comme l’était sa mère, épouse une femme très fière et très hautaine, mère de deux filles du même caractère. La belle-mère, jalouse de toutes les qualités de sa belle-fille, la déteste et lui fait faire toutes les tâches ingrates de la maison alors que ses propres filles sont gâtées. Cendrillon (qui doit son surnom au fait qu’elle s’asseyait dans les cendres) supporte tout avec patience et sans se plaindre.
Un jour, le fils du roi invite à son bal toutes les jeunes filles nobles de la région, et Cendrillon, exclue de par sa situation familiale et non pas sociale, aide avec beaucoup de bonté ses sœurs à se préparer. Mais le jour du bal, elle ne peut s’empêcher d’être triste, aussi, sa marraine la fée, lui offre-t-elle la possibilité d’assister au bal (citrouille= carrosse ; souris = chevaux ; rat= cocher ; lézards = laquais ; hardes = riches vêtements ; + en cadeau : une paire de pantoufles de verre, toutefois elle donne une condition, elle ne doit pas rester à la fête au-delà de minuit, sinon les prodigieuses transformations prendront fin.
Au bal, elle fait sensation, elle est admirée de tous, même de ses sœurs qui ne peuvent pas la reconnaître tant elle est méconnaissable ; le fils du roi ne fait que la regarder et passe toute la soirée en sa compagnie. A 11H45, elle quitte la fête comme promis.
Le lendemain, elle retourne au bal, mais, tout au plaisir d’être en la compagnie du fils du roi, elle oublie l’impératif horaire imposé par sa marraine et quitte précipitamment la fête au douzième coup de minuit et perd une pantoufle de verre, que le fils du roi ne manque pas de ramasser.
Quelques jours plus tard, le prince fait savoir qu’il épousera la jeune fille à qui appartient la pantoufle de verre. La dite pantoufle est donc essayée par toutes les jeunes filles