Expliquer la thèse de rousseau selon laquelle la pitié est un sentiment naturel chez l’être humain. freud serait-il d’accord avec cette thèse ?
Tout d’abord, selon Rousseau, la thèse selon laquelle la pitié est un sentiment naturel chez l’homme montre bien l’activité de l’amour de soi même, le tout contribuant à la conservation, entre nous, de toute espèce. C’est cette même pitié qui amène à aider une personne en détresse sans même y réfléchir. C’est cette chose, qu’est la pitié, qui nous tient lieu des lois, des mœurs et des vertus, avec l’avantage que nul ne peut désobéir. C’est elle qui détournera tous êtres méchants qui voudraient faire du mal à un être en difficulté ou sans défense. Voilà donc que pour Jean-Jacques Rousseau, la pitié est un sentiment naturel, qui nous permet de raisonner dans les situations de calamité.
Pour sa part, Freud énonce : «tu aimeras ton prochain comme toi-même.», une phrase universelle et assurément la plus ancienne que le christianisme est mit de l’avant comme revendication. Encore une fois selon Freud, si un proche ressent une douleur, je devrai la ressentir et la partager. Par contre si une personne m’est étrangère, il ne pourra m’attirer, ni par aucune valeur propre. Il sera difficile de l’aimer et de l’aider. Et si je dois l’aimer, je lui donnerai un infime montant d’amour qui ne sera suffisant.
Lorsque nous comparons les deux, il est possible de remarquer plusieurs ressemblances. Le fait d’aider les gens, autant en moment de douleur ou pendant tous autres problèmes montre bien que c’est un sentiment naturel. Par contre, là où nous pouvons voir la grande ressemblance, c’est lorsque Freud parle d’aider les gens qui lui sont proche seulement. Il partage, ressent et aide les