Virgile fait hommage à Bacchus et l’honore en tant que Dieu des arbres fruitiers et du vins. Puis il citera les différents procédés de reproduction des arbres, qui se divisent en deux catégories : la reproduction naturelle, ou les arbres poussent au loin et au large formant de denses forets et végétations, et la reproduction qui requiert l’ intervention de l’ homme afin de profiter plus de certains arbres , dont Virgile mentionne le bouturage, le marcottage ou même le greffage qui donne des possibilités …afficher plus de contenu…

Il fait ensuite l’éloge de l’Italie qui demeure indisputé en richesses et jouit dans une harmonie loin du conflit et de la guerre. De surcroit, elle regorge de trésors et ressources tel les métaux précieux, les troupeaux et les fronts de mer, sans oublier les somptueux chefs d’œuvres de l’architecture Italienne , et les fiers Italiens qui ont achevé des prouesses à maintes reprises contre l’ adversité. Virgile énumèrera ensuite les différents types de terrains propices à des cultures particulières et comment les différencier suivant leurs propriétés chimiques et physiques qu’on peut déterminer en employant des techniques spécifiques …afficher plus de contenu…

Dans cette partie l’auteur décrit les saison en déclarant que l’hiver n’est pas la saison convenable pou planter la vigne au contraire du printemps qui représente une saison agréables : Jupiter descend , les oiseaux mélodieux la saison des amours …., et il suppose que printemps a occupé toute l’année à l’origine du monde , ainsi il conseil encore une fois le laboureur « n’oublie pas les cacher sous une épaisse ,….», en énumérant les différents étapes de développements de la vigne et comment elle réagit avec son entourage : le vent la terre…, pour cela le travail de la vigne n’est jamais épuisé, il dure toute l’année et toujours par conséquent ce travail et dure « Soit le premier à creuser le sol , le premier à bruler …., le dernier vendanger » , et après un long travail les vignes devient liée à cet moment le vigneur chante, l’olivier au contraire n’est pas assez pénible et ne demande pas de culture car la terre fournit les conditions nécessaires «fournit d’elle-même au plante