Explication texte emmanuel mounier personnalisme
Je desespere de lui comme personne, comme sujet, qui peut être autre chose que ce qu’il est et ce qu’il a ete jusqu'à présent. C’est a dire, je l’enferme dans une définition et il n y a que les objets qui peuvent être définis . Un être humain est une personne ; il se construit, il est une liberté et donc je ne peut pas l’enfermer dans une définition car, comme dis Sartres, « je le chosifierais » dans ce cas la et je nie sa nature de personne et donc, je le desespere car le propre de l’esperance est de ne pas nous enfermer dans ce qui est ou ce qui a ete mais d’avoir toujours en avant de nous de quoi être autre chose que ce qu’on a ete jusqu'à présent.. L’homme n’est pas une chose, il est un sujet, qui se construit par des actes de liberté .
II)
Ici il est question du rapport que nous instaurons avec l’autre, le regard que nous portons sur lui.
Et tout ce début de texte est construit sur une opposition : je peux traiter l’autre comme un sujet mais aussi comme un objet. Par rapport a cette idée du regard que je porte sur l’autre, de la façon dont je me repporte a lui et de la relation que j’instaure avec lui.
1) comment je peux traiter l’autre comme un objet ? Qu’est-ce qu’un objet ?
Qu’est ce que c’est de traiter l’utre comme un objet ? « quand je le traite comme un absent , comme un répertoire de renseignement a mon usage, comme un instrument a ma merci.. ». En quoi et pourquoi, ici, j’ai un rapport a l’autre comme un rapport de sujet a objet. Et qui donc enferme l’autre dans une objectivation qui est négatrice de sa nature de sujet et de personne et qui est donc pour lui désespérante. Comme c’est désespérant pour nous quand quelqu’un nous dit « Je savais que tu allais dire ca, tu dis toujours la meme chose et cela ne changera jamais