EXPATRIATION ET MAL-ETRE AU TRAVAIL, LE CAS DES EXPATRIES INDIENS EN Allemagne

Expatriation et mal-être au travail
Le cas des expatriés indiens en Allemagne Le nombre des expatriés augmente régulièrement dans le cadre de l’internationalisation. Cette dernière est due généralement à :
Un développement d’activité (Pas toujours)
Faire preuve de flexibilité, en délocalisant les activités vers des zones où la main d´œuvre est moins onéreuse.
Répondre aux besoins quantitatifs ou qualitatifs des compétences
Cette expatriation peut avoir des effets pervers sur l’organisation, à cause de la difficulté des salariés de s’adapter au nouveau poste ce qui décroit leur performance

1. L´expatriation, une source de mal-être

Selon plusieurs travaux, l’expatriation reste une situation potentiellement porteuse du mal être, vu que les expatriés se trouvent confrontés à un véritable choc culturel. (Une vie qui change)un minimum d’adaptation est exigé.
En effet, les théoriciens de l’adaptation se mettent d’accord sur le fait de vivre dans un nouvel environnement crée un niveau d’incertitude, à cause de le perturbation inévitable des routines, et de ne pas pouvoir conserver ses habitudes et rituels nécessaires au développement de la maitrise de vie et préservation d’un certain niveau de prévisibilité. C’est pourquoi l’adaptation s’avère essentielle. Pour cela 4 dimensions de processus d’adaptation sont proposées :
Dimension personnelle : Capacité de substitution et faire face au stress, compétence technique
Dimension relationnelle : développement de la relation, volonté de communication
Dimension perceptuelle
Dimension culturelle
Ces 4 dimensions prouvent que les individus ne présentent pas la même capacité d’adaptation.

D’autres dimensions relèvent de la volonté des personnes et soulèvent la question de motivation et démotivation. Joly a identifié 4 phases de la vie psychique de l’expatrié durant la période d’affectation et de retour :
1- Phase