van Haaren Charline Exercice Chapitre 3M03 semestre printemps Dans le cours, slide 22, il est fait référence aux diverses méthodes employées dans l'étude de la génétique comportementale : l'étude des ressemblances familiales, la méthode des jumeaux, la méthode d'adoption/séparation. Vous réaliserez une recherche personnelle pour décrire ces trois méthodes. L’étude de la génétique comportementale mesure l’impact …afficher plus de contenu…

En analysant la corrélation de traits de caractère entre des jumeaux monozygotes et dizygotes, l’on va essayer de mesurer l’existence des facteurs génétiques. La difficulté des recherches de jumeaux va être l’environnement. Plusieurs recherches montrent que des jumeaux monozygotes sont habituellement traités de la même façon, suite à leurs fortes ressemblances, contrairement aux jumeaux dizygotes. Ils ont donc un environnement plus similaire que des jumeaux dizygotes. Mais plusieurs observations où l’on a échangé l’identification du type de jumeaux (monozygotes dizygotes) auprès des parents, n’a pas ou peu affecté leurs facteurs environnementaux. Des recherches plus poussées vont combiner la méthode des jumeaux à celle de la séparation. Le fait de séparer des jumeaux …afficher plus de contenu…

Si des jumeaux MZ vivant séparément se ressemblent autant que des jumeaux MZ vivant ensemble, on peut conclure que l'effet de l'environnement est plutôt faible sur ce point, voire inexistant. Si en revanche, les jumeaux MZ vivant ensemble se ressemblent plus que ceux qui ont été élevés séparément, il faut conclure que l'environnement joue un rôle important."La méthode familiale:"Dans les études qui utilisent cette méthode, on mesure un trait chez des individus appartenant à la même famille. Si le trait s'observe plus fréquemment chez les descendants d'une personne qui le manifeste que chez les descendants d'une personne dépourvue des traits, on peut conclure qu'il bénéficie sûrement d'une influence héréditaire."Néanmoins, l’agrégation familiale suggère l'origine génétique, mais ne la prouve pas, puisque les familles qui partagent une partie de leurs gènes,