Exemple de commentaire littéraire
Nous apprenons la définition de plusieurs mots, page après page avec une originalité, qui se doit au poème en prose qui n’utilise ni techniques de rime, ni de versification. En effet, nous pouvons dire que celui-ci se comporte comme un discours aux effets poétiques. Ce recueil est un dictionnaire où un poème n’est rien sans l’autre. Si nous faisons attention, nous pourrons voir que certains poème ont un lien comme « la Pluie » et « La fin de l’automne ». L’automne est une saison durant laquelle, la pluie a une présence sempiternelle. Ensuite, les métaphores dépendent seulement et seulement, de la richesse de l’objet choisi pour en faire la glorification. En effet, si vous regardez par exemple le poème « les mûres », le fruit mûre est présenté comme pauvre : « si peu de choses au fond …afficher plus de contenu…
Les métaphores, naissent donc de la difficulté. Si elles étaient plates, elles feraient sans doute allusion aux trottoirs ne pensez-vous pas ? Il s’agirait de doser Monsieur Bourdin, une chose devient un objet, un animal, un satellite mais ne reste pas une chose, d’où le projet « poétique ». Dans le poème « le pain », la croûte du pain renvoie, à la croûte terrestre avec ses "vallées", "crêtes", "ondulations", "crevasses". La naissance du pain renvoie à la genèse de notre monde. Le four est ainsi assimilé à un "four stellaire" ou une "masse amorphe" en train "d'éructer", "durcissant" sous l'effet de la chaleur. Alors que la croûte prend de la hauteur, la mie est comparée à un sous-sol qualifié de manière péjorative : « lache et froid ». Le pain repose donc sur une opposition entre deux éléments irréconciliables :