exemple de compte rendu.
Chapitre 2
Sujet : Faites le compte rendu du chapitre 2 du roman Le Café de L'Excelsior en y présentant le portrait opposé des gens de la rue et le thème de la quotidienneté.
Plan
1. D'abord, le narrateur, à l'aide de ses souvenirs, présente un portrait opposé des hommes de la rue bordant le café.
1.1 Les premiers remarqués, les gens de métier, semblaient heureux.
Exp. : En effet, leurs façons d'être, leurs actions et leurs paroles montraient cet aspect. Ces gens respiraient le bonheur et suggéraient un ravissement quant au fait d'aller exercer leur métier, leur travail, selon le jeune garçon, à l'époque, qui les voyait à tous les jours.
Citation : Notamment, les ouvriers se « lan[çaient] des plaisanteries » (p.19) et « le laitier […] passait de porte en porte […] en sautillant […]; […] et chantonnait toujours des airs à la mode […] » (p.19).
Procédé + effet : L'emploi de verbes caractérisant le bien-être et l'ajout de l'adverbe « toujours » évoquent l'état bienheureux de ces simples gens. Par ces termes, le narrateur présente une certaine légèreté qui se dégageait des actions ou attitudes dont faisaient preuve ces travailleurs.
1.2 Toutefois, les hommes de profession semblaient habités, quant à eux, par une sévérité habituelle.
Exp. : Remarqués aussi par le petit-fils, ils dégageaient une attitude plutôt individualiste et sans bonheur aucun. Le narrateur souligne qu'ils étaient peu décontractés et qu'ils réagissaient peu à sa présence.
Citation : Il dit d'ailleurs à ce propos : « [...]je ne semblais à leurs yeux pas même exister, ainsi que me l'indiquait le bonjour joyeux que je leur lançais et que jamais ils ne me rendaient » (p.20).
Procédé + effet : L'adverbe « jamais » souligne leur comportement constant lié à l'austérité dont ils faisaient preuve envers le jeune garçon qui, lui, « leur lanç [ait]» quotidiennement un amical « bonjour ».
Mini conclusion : Bref, tous ces travailleurs